5h30: réveil de bon matin. Pas toujours facile mais nécessaire quand on habite dans les Ardennes flamandes et qu’on travaille à Bruxelles. Comme tout bon porte-parole qui se respecte, et même avant d’échanger le premier bisou du matin avec Monsieur, je caresse du bout des doigts, avec un seul œil ouvert et l’autre encore enfoui dans l’oreiller, l’écran de mon téléphone pour découvrir les titres de la presse. J’ouvre ensuite ma mailbox pour vérifier si des dépêches Belga concernant ENGIE ont été publiées. Et oui, ils ne s’arrêtent jamais et quand c’est la nuit en Belgique, c’est leur équipe installée en Australie qui prend le relais!

8h00: j’arrive au bureau après une bonne heure de train. Première chose que je fais: saluer mes collègues, café à la main et sourire aux lèvres. Rien ne vaut le contact direct et personnel pour créer des liens forts au sein du département. Et puis, on apprend souvent beaucoup de choses à la machine à café!

8h15: même si nous sommes à l’heure du digital, j’aime feuilleter les journaux papier, parcourir l’actu politique et économique et je l’avoue…les pages un peu plus « people». Mais shuuut….

-La matinée est rythmée par les réunions d’équipes mais également par les rencontres avec les responsables opérationnels. Ils me font découvrir leurs projets et leur expertise qui feront l’objet d’un communiqué ou d’une visite de presse. Un travail de journaliste en fait: je pars à la recherche de scoops et de belles histoires à raconter pour mettre l’entreprise en valeur et illustrer le rôle qu’elle joue dans la société.

12h30: si je ne mange pas en compagnie de mes collègues la salade que je me suis préparée à la maison (et oui, la salade, c’est zéro point et mes consœurs sauront de quoi je parle!), j’en profite pour aller déjeuner avec des journalistes. Ces moments sont importants car si porte-paroles et journalistes ne sont pas des collègues, ces rencontres nous permettent d’échanger de façon plus informelle sur l’actualité de l’entreprise ou sur le secteur mais aussi pour faire plus ample connaissance.

Les après-midi sont souvent jonchés de questions presse. Les journées sans appel de journalistes sont plutôt rares au service presse d’ENGIE.

-Fin de la journée (et là, ce n’est jamais à la même heure): je rentre dans ma campagne profonde pour m’occuper de mes trois loulous qui eux aussi ont beaucoup de choses à me raconter. J’essaye de m’impliquer dans leurs devoirs mais il est souvent trop tard. Alors, nous profitons simplement l’un de l’autre autour d’un bon repas ou devant un film qui sera souvent tiré au sort car ils ne se mettent jamais d’accord.

23h30: j’avais pourtant dit que je ne le ferais plus… mais je me suis à nouveau endormie devant la télé. Et là, je ne peux m’empêcher de jeter un dernier coup d’œil à mon téléphone…qui sait…peut-être que les médias m’ont appelée (pour rappel, ils ne dorment pasJ). Allez, à dans quelques heures mon petit écran. Bonne nuit.

PS: je vous ai décrit une journée idéale de travail mais ce qui est vraiment passionnant au service presse d’ENGIE, c’est qu’aucune journée ne se ressemble et qu’on ne sait que très rarement de quoi sera fait le lendemain.

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